« La maturité commence à venir quand on se contente d’avoir raison sans trouver nécessaire de prouver que quelqu’un a tort ». Anonyme

Les échecs (et erreurs) sont formateurs si nous savons reconnaître nos torts et en tirer des leçons constructives pour l’avenir. L’humilité par exemple nous permet de marcher sur le chemin de la perfection, alors que la suffisance et l’arrogance nous en éloigne.

Les qualités d’un cœur d’enfant (Matthieu 11.25 ; Luc 18.16) nous sont conseillées dans la Parole de Dieu : simplicité, pureté, sensibilité à l’amour, innocence, aptitude à recevoir des autres… Lorsque tous ces traits de caractères sont recherchés et développés, nous pouvons alors croître en discernement dans le temps et :

– Apprendre à faire grandir notre relation avec Dieu : Jean 17,

– Passer du temps dans la prière et s’imprégner des Saintes Ecritures,

– Apprendre à recevoir de Dieu une pensée, une parole, une inspiration, une conviction, une direction, une nouvelle compréhension (1 Corinthiens 2.14-14),

– Développer l’analyse de ce qu’il semble que Dieu nous dit ou veut nous faire comprendre, sans nous tromper (Colossiens 1.9-10),

– Soumettre notre discernement à celui des anciens, en contrôlant l’authenticité de ce que nous croyons être juste,

– Retransmettre aux autres la pensée de Dieu, avec sagesse et sans super-spiritualité,

– Utiliser aussi en complément le bon sens humain que Dieu nous a donné, allié à la logique de Dieu et à la lumière de la Parole de Dieu (Esaïe 55.8 ; Jérémie 33.3)…

Nous avons bien évidemment tous le droit de commettre des erreurs tant que cela ne nous sert pas d’excuse pour accomplir n’importe quoi. Continuons donc à « rechercher ardemment » ces choses afin de les vivre pleinement.

Betty